vendredi 18 juillet 2008

Fényl Narraïdoo




NOM:


Narraïdoo

Prénom:

Fenyl

Age:

30 ans, mais dit en avoir 25

Métier:

Dirige un grand commercial, mais est aussi le roi de la contrefaçon.
Caractère:

En un mot, Fényl est un flambeur! Il ne jure que par la frime et par lui même. Il est d'un narcissisme exagéré et bien sur . Il se dit même être un grand seducteur, il dit collectionner les conquêtes et ne jamais sortir avec moins de cinq filles en même temps. Il est tout de même quelqu'un dans le fond de particulièrement gentil et vraiment très généreux, car sous sa grosse carapace de macho, se cache un garçon sensible. Il serait prêt à se plier en quatre pour ses amis, même si il doit mourrir de faim!
Fényl est ce qu'on peut appeler un très beau parleur, il a toujours tendance à en rajouter beaucoup, et se crée même de faux exploits, car ce monsieur aime avant tout qu'on le regarde eet surtout qu'on l'admire.
Il est par contre, tout particulièrement ventard et est très sur de son charme....
Toutefois, dès qu'il y a une embrouille, c'est le premier à filer à l'anglaise, car oui, c'est un vrai trouillard, le genre à faire pipi dans sa culotte dès qu'il a peur.
Fényl est aussi un excellent élève, et lorsqu'il était étudiant, c'était lui, le petit fayot de la classe, celui que tous les profs adoraient.


Histoire:

Fényl est né à (complèter selon le forum )de parents indiens, son papa, tenant un grand centre commercial, il n'a jamais manqué de rien. Tout ce qu'il voulait Fényl l'obtenait! Il a été dans l'école privée la plus hupée de la ville, dès sa plus tendre enfance. Ses parents, et ses proches, lui ont toujours dit qu'il était le plus beau, le plus intelligent le plus drôle. Et, de ce fait, il en est persuadé depuis son enfance.
Il a grandi dans l'harmonie, eh oui, mais hors de la ville, dans une grande villa.
A 14 ans, il commence à dire à tout le monde qu'il est un collectionneur de jeunes filles , elles tombent toutes sur le passage de ce beau parleur, car oui, il sait parler aux filles. Mais elles ne sont pas sa plus grand passion, il préfère l'argent.
A 18 ans, il décide de partir faire des études de buisness à Singapour, enfin, dit à tout le monde qu'il va le faire. Mais voila, Monsieur est un vrai Tanguy, qui ne veut pas quitter les juppes de sa maman. Alors il raconte finalement haut et fort que Singapour n'est pas assez bien pour lui et que de toutes façon, il aime trop sa ville natale pour la quitter de nouveau.
Son père, se faisant âgé, lui lègue alors la direction du centre commercial, et le jeune homme, alors âgé de 18 ans, la prend, et s'installe à dans un quartier très agréable

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Hrithik Roshan

jeudi 17 juillet 2008

Bellatrix Lestrange





Nom:


Lestrange

Prénom:

Bellatrix

Age:

à définir selon le forum

Physique :

Bellatrix est grande elle doit mesurer environ 1m78, mais maigrissime, elle doit peser 62 kg, avec une musculature assez discrète, mais puissante, elle est assez mince. Ses cheveux bruns sont épaix et soyeux. Elle a de longues jambes bien pratiques pour courir après les non-partisans de voldy et les massacrer ensuite quand celui-ci le lui ordonne ^^. Au niveau du style vestimentaire, elle aime souvent porter du mauve et du noir, des couleurs très classes et simples. Ses yeux sont de couleurs noire, et vous regardent souvent bien froidement. Ses mains sont longues et presque osseuses, elle adore jouer avec et faire bouger ses doigts.

Caractère :

La première grande qualité de Bellatrix, c’est la gentillesse…. Non je rigole, ce sont l’intelligence et la ruse. C’est une jeune femme fidèle au Lord, et elle sacrifierait même sa vie ou celle de son époux pour lui, en fait, les seuls personnes qu’elle ne sacrifierait jamais sont ses deux sœurs. Elle aime torturer et voir les autres souffrir, mais la question est pourquoi a-t-elle choisi de servir le lord ? Pour la simple et bonne raison, qu’elle est persuadé qu’il y a des races à travers les sorciers, elle est persuadée que seul les sorciers sangs purs et serpentards sont dignes de ce nom. En fait, si vous voulez un exemple, il n’y a qu’un moldus qu’elle estime, et il est mort, c’est ce cher Adolf Hitler ^^. Ambitieuse comme pas deux, elle écrase tout sur son passage pour réussir, peu lui en important les conséquences, temps qu’elle passe avant tout.
Bellatrix, aime qu’on la regarde, elle aime être sur le devant de la scène, plutôt froide, elle est aussi d’une arrogance invétérée. Plutôt gracieuse, elle regarde souvent les gens de très haut et juge à l’apparence, pour elle, l’âme des gens se voit sur ce qu’ils portent, de ce fait, elle, prendre énormément soin de son apparence.
La cruauté ? Oui, c’est quelque chose qu’elle connaît, mais pas la méchanceté gratuite, elle pense d’ailleurs que cela est reservé aux autres humains qui se rapprochent plus de l’animal que d’autre chose.
Quand vous vous mettez Bella à dos, ne vous en faites pas…. Elle vous reparlera… uniquement pour vous faire souffrir comme pas deux. C’est quelqu’un, qui n’oublie jamais rien et qui ne supporte pas l’étourderie, de plus, pour elle, tout le monde doit être ponctuel à la minute près tout comme elle-même.
Toutefois, elle n’en reste pas moins une jeune fille de 23 ans, qui aime sortir, organiser des fêtes dans son manoir avec Rodulphus, elle a une préférence pour les fêtes à thème.

Histoire :

Bellatrix est née fille Black, sœur de Narcissa et Andromeda, elle est âgée de 23 ans. Etant aînée de trois sœurs, ses parents lui ont toujours fait comprendre qu’elle devait montrer l’exemple à ses sœurs. Elle a toujours été digne de sa famille, non pas par obligation, mais par choix, car vu le caractère qu’elle a, elle aurait très bien pu se rebeller. Simplement depuis petite, on lui a prouvé maintes fois que les autres races étaient plus faibles. C’était une enfant qui n’obéissait qu’a ses parents et ses grands parents, qu’elle respectait comme pas deux, et même encore maintenant, dès qu’elle en parle, on peut voir dans ses yeux une lueur d’admiration, surtout lorsqu’elle parle de son père.

Durant toute son enfance, elle a vécu dans le manoir familiale, pleins d’allers et venues des amis de ses parents, excellents contacts pour se préparer un avenir. Ceux de qui elle se sentait les plus proches, étaient les Lestranges et les Malfoy, étrangement, dès son plus jeune âge, on essaye de la lier à Rodulphus, avec lequel, elle ne s’entend pas du tout bien sur. Tous deux, n’arrêtent pas de se faire des farces de très mauvais goûts, mais en même temps, ce sont des enfants, alors quoi de plus normal ? Par contre, elle s’entend très bien avec Lucius. Ses relations avec ses sœurs sont dès lors excellentes, en grande sœur modèle, elle les protège de tout, peut être un peu trop d’ailleurs.

Lors de ses 11 ans, elle entre à Poudlard, c’est un vrai déchirement pour elle, mais en fille de très bonne famille, elle ne montre rien du tout. Lors de son entrée dans la grande salle, elle trouve cela majestueux, la seule chose qui la choque, c’est de voir de la vermine entrer dans un endroit pareil, tels que les Gryffondor, les Poufsouffle ou encore les Serdaigle. Elle va donc s’asseoir à sa table, attendant l’appel de son nom, qui commence par la lettre B, au tout début de l’alphabet. Les élèves des différentes maisons applaudissent lorsqu’un élève est admis quelque part, pas elle, elle trouve cela totalement puéril. « Bellatrix Black », appelle le choixpeau. Voila, c’est le moment décisif, celui qui lui permettra de dessiner le début de son avenir « Hum… je vois de l’intelligence, de la malice, de la ruse… une Black n’est ce pas ? SERPENTARD !!!! ». Voila, de toutes façon, elle ne pouvait aller ailleurs, c’est la seule maison digne de Poudlard.

A l’école, elle a de très bonne note, surtout en potion et en défense contre les forces du mal. Elle se fait très vite respecter, non seulement grâce à son nom, mais aussi grâce à son caractère. Qui s’y frotte s’y pique, comme dit le dicton. Les Gryffondor ? A chaque fois qu’elle en croise un, il a le droit à ses sarcasmes, et elle leur fait clairement comprendre, qu’elle vaut mieux qu’eux, combien on finit par courir pleurer dans leurs dortoirs parce qu’elle avait touché leur point faible, maligne et observatrice la jeune fille. Mais vous ne pouvez pas imaginer la satisfaction que cela lui apportait. Lors que ses sœurs sont arrivées, on les a tout de suite respecter aussi, parce qu’elles avaient la plus admirées des grandes sœurs ? Non, pas seulement, elles se sont elle-même fait leur place.

C’est l’été de ses 15 ans, qu’elle apprend qu’elle est fiancée à ce crétin de Rodulphus, leurs relations, ne s’étant pas arrangées avec le temps, elle, le trouve trop puéril, mais c’est l’adolescence. Toutefois, elle essaye de faire un effort pour essayer de le comprendre, si elle doit passer le reste de sa vie avec, il faut bien essayer de ménager le terrain, non ? Bref, sa cinquième année est consacré à cela, en plus de ses devoirs et de ses farces. Finalement, elle ne le trouve plus si ridicule que ça, mais n’en est pas amoureuse non plus, de toutes façon, selon sa mère « l’amour ma fille, vient toujours après le mariage, et tu n’es pas non plus obligée de consommer avant ». Alors, Bella, collectionne les autres aventures, mais elle n’y met aucun sentiments, elle les refoule, car elle sait qu’elle n’est destinée à aucun d’entre eux. Des amis ? Ah oui, il en faut, enfin, elle a des connaissances, mais pas vraiment d’amis, mis à part Lucius, peut être parce qu’elle le connaît depuis longtemps.

Sa dernière année [si mes calculs sont bons] est celle de l’entrée des marraudeurs à l’école, elle les trouve là encore complètement idiot, de vrais gosses inintéressants, surtout son imbécile de cousin Sirius, incapable d’honorer son nom et sa famille, d’ailleurs, il entre chez les Gryffondor, quelle honte !

A la majorité 17 ans, elle obtient ses ASPIC avec de très bonne notes bien sur, avant de partir, elle étraint ses sœurs, en leur murmurant que « la vie de ne fait que commencer, profitez donc de vos dernières années à Poudlard les filles, après…. Après je ne sais pas… » . Voila, c’est simple. Cet été là, elle épouse Rodulphus, voila, son devoir est fait, sa mère la supplie de faire très vite un enfant, mais elle refuse « laisses-moi donc vivre ma jeunesse Maman ! ». Rapidement, elle devient une mangemorte. Mais sa vie ne se résume pas que à cela, Bellatrix, cherche à faire quelque chose de sa vie, refusant de tomber dans l’ennui… alors, elle entre au ministère de la magie, et tout en étudiant le droit magique [ qu’elle a finit quand elle avait 22 ans], elle travaille au Département de la Justice Magique, au moins, comme ça, elle est protégée.

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Helena Bonham Carter

Jayan Blue





Nom :


BLUE

Prénom :

Jayan

Âge :

18 ans


Caractère

Qualités : Il est d’une extrême gentillesse, toujours aimable, un peu charmeur, c’est un ami fidèle, il peut être bavard, comme silencieux, il est toujours d’excellente humeur, ou alors quand il ne l’est pas, il ne le montre pas, il est passionné, mais très zen, et ne se prend jamais la tête.
Défauts : Il est vraiment justement trop nonchalant, certains pensent que c’est du « jeu m’enfoutisme », il sait aussi très bien utiliser ce défaut pour énerver, il est vraiment très bordélique et n’est pas fichu de faire le ménage.
Ce qu'il aime: les soirées entre copains, jouer de la guitare ( a part sa planche de surf, c'est ce dont il ne se sépare jamais ), le soleil, la plage, marcher.
ce qu'il n'aime pas: la grisaille, les grandes villes

Physique :

Il est chatain foncé, avec des yeux bruns, bronzé, et avec un corps de sportif, beau, mais s’en contrefiche, il a le style vestimentaire d’un surfer et supporte assez mal les chaussure, préférant se ballader pied nu. Il se ballade toujours les mains dans les poches. Il est toujours tressé à la garçonne, c'est à dire des tresses qui partent du haut du crane vers l'arrière

Histoire :

Jayan est né en 1990, le 2 décembre plus particulièrement. Il est né au Royaume-Uni, d’une mère hawaïenne, et d’un père français, il a aussi une petite sœur : Cassandra, alias Cassy, qu’il adore .Toutefois, quelque jours après sa naissance, ses parents retournent vivre à Hawaï, un véritable paradis sur terre, car ils ont un hôtel de luxe là bas. Jayan grandi donc dans cet hôtel, la mer et les sports nautiques devenant vite ses terrains de jeux favoris, il apprend à nager dès son plus jeune âge. A cinq ans, il passe son baptême de plongée, et se passionne pour ce sport, apprend tous les noms de poisson par cœur. La mer devient vite sa seconde maison, il connaît parfaitement tous les recoins de plongée de l’île.
Le soir, il aime aller parler avec les vieux de lîle qui lui raconte les histoire de pirates, et adore ensuite dérober les lampes de poches de plongées de ses parents et secrètement aller plonger dans les épaves tout autour de l’île. A 8 ans, il découvre le surf, et apprend très rapidement. Il est particulièrement doué, à 9 ans, un responsable de Quicksilver le remarque et lui propose de le sponsoriser. Il devient très rapidement doué, et participe aux championnats du monde junior, mais ne gagne pas maintenant. A 13 ans, il finit troisième, belle victoire pour un autodidacte.
Puis, vient l’adolescence, les filles, enfin, il est loin d’être un coureur, mais plait. Toutefois, aux relations sérieuses, il préfère de loin les soirées entre amis, sur la plage, à fumer un ou deux joints, guitares, bières et feux de camp. Mais attention, c’est loin d’être un drogué !
A 15 ans, il doit quitter son île, pour aller au lycée. En effet, il a toujours suivi des cours par correspondance, mais sa majorité approchant et donc les études, ils pensent qu’il doit apprendre à vivre dans un système éducatif « normal ». Il s’adapte, tant bien que mal, parce qu’il a l’impression qu’on lui vole sa liberté, lui qui a toujours été indépendant.
Il entre donc à l’internat, travail assez normalement, sans se pousser non plus au maximum, mais le surf lui manque trop. Il se fait tout un tas d’amis. Le week-end, il rentre chez lui, car, l’île n’est qu’a 30 minutes d’avion de la ville et que ses parents lui ont pris un abonnement.
A 16 ans, il se rend compte que finalement, l’école n’est pas son truc, et qu’il veut faire du surf son métier, il passe aussi son premier niveau de plongée (ça été vraiment simple pour lui, il plongeait déjà à 30 mètres quand il avait 10 ans avec son papa). Ses parents l’obligent tout de même à continuer l’école, malgré le fait qu’il soit absent la moitié de l’année à cause de compétitions au quatre coins du monde. Ils font un deal avec lui : il continue les compétitions, mais se débrouille pour garder son niveau scolaire. Il est donc contraint de se mettre à travailler plus.

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Nick Rae (mannequin Agence Ford)



Alessandro Dante




Nom :

Dante

Prénom :

Alessandro

Age :

678 ans

Ce qu’il est :

Vampire

Caractère :

Alessandro est un jeune homme battant, rien ne semble l’anéantir. Il croit à ses convictions, est obstiné comme pas deux ! En amitié il est très fidèle et sera du genre à vous suivre quoiqu’il arrive. Très bavard et franc ce « jeune » vampire est doté d’un sens de l’humour hors du commun. Il aime faire des farces à qui veut et sait toujours remonter le moral de ses troupes (aussi connu sous le nom de ses amis). C’est un jeune homme très déterminé qui sait absolument ce qu’il veut. Très émotif il a tendance à pleurer pour un oui ou pour un non et écoutes toujours le chemin que son cœur lui dit de prendre. Au niveau des défauts, Alessandro est quelqu’un de très étourdie qui bien sur ne note rien dans son agenda ! Donc les rendez-vous, mieux vaut les lui confirmer minimum une heure à l’avance, sinon il oublie. C’est un jeune homme qui ne s’excuse jamais de ses erreur, de très mauvaise foi il cherchera toujours un argument qui vous fera taire sur place… seul hic, il cherche et ne trouve jamais ! Du coup il vous sort des arguments complètement débiles et ne supporte pas qu’on lui face remarquer qu’il à tort. Il est tellement sur de lui qu’on a parfois l’impression qu’il est doté d’un égaux surdimensionné, ce qui n’est pas le cas, au contraire c’est une personne très modeste. Grand séducteur il tombe amoureux très facilement, c’est pour cela qu’il n’a jamais été fidèle à une seule femme ni à un seul homme. Il les aime toutes, pour lui les humaines sont plus pratiques car elles sont loin d’être éternelles, mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas non plus séduit par les vampires ou autre créatures magiques. Fêtard invétéré il passe sa vie à sortir c’est un garçon parfaitement non raisonnable… alcool, cigarettes et parfois même certaines drogues hallucinogènes (cannabis et shit) font partie intégrante de sa vie…

Description physique :

Alessandro est de grande taille, il mesure 1m85, d’allure athlétique, le vampire aime faire du sport quand l’occasion se présente. Châtain avec des yeux verts il plait beaucoup aux demoiselles et aux jeunes hommes, surtout quand il sourit. Au niveau du style vestimentaire, il s’habille toujours très chic, pour lui être habillé correctement est une forme de respect vis-à-vis de lui-même et des autres. Il a une préférence pour le look bobo ou costard-cravate.

Histoire :

Alessandro né le 15 janvier 1349 d’un père italien et d’une mère espagnole, oui messieurs dames, c’est bien un aristocrate. Son père Mercutio est un habitué de la Cour italienne, sa mère quand à elle fait parti des favorite de la reine d’Espagne, que du beau monde ! Il est donc très vite baigné dans le luxe. Ayant un frère ainé, soldat, un autre moine, Alessandro est élevé selon les us et coutumes de l’époque. Religieusement, et belliscément. Son enfance il la passera en Italie auprès de son père pour que celui-ci lui apprenne à se comporter comme un homme. Alessandro se cultive, assiste aux banquets les plus prestigieux et gagne bientôt l’estime et le respect de tous. Quand quelque chose est organisé à la Cour, le jeune homme, alors âgé de 17 ans doit être de la partie pour son plus grand bonheur. Lorsqu’on parle de lui les yeux des femmes se mettent à briller, les hommes sourient, oui Alessandro ce n’est que du bonheur pour tout le monde…Jusqu'à ce jour de 1369…

Il a 20 ans, se porte fièrement, se dandine comme à son habitude sur son fidèle destrier. Nous sommes à la chasse en pleine forêt, l’air est humide et chaud, mais cela ne le perturbe en aucun cas, il est en compagnie de son ami anglais Lord Lorrington, venu alors tout droit d’Angleterre pour passer trois mois dans le domaine italien légué par un oncle très lointain. Oh, grande joie pour les deux amis de se retrouver. Ces deux là s’étaient rencontrés à la Cour d’Espagne, ayant le même âge, le même goût pour les femmes, la chasse, le même humour il n’en fallu pas plus pour que leur amitié devienne très forte en peu de temps. Bientôt l’un ne put se passer de l’autre, et régulièrement ils s’écrivaient faisant là part de leurs impressions du monde. Tous deux avaient de grandes ambitions, dont celle de faire le tour du monde à la recherche d’autres cultures… mais il fallait du temps pour le faire, et ils en manquaient crucialement et Alessandro n’avait pas trouvé de solutions… alors que le Lord si….

1] Au nom de l’amitié…

Les chiens se mirent à aboyer, ils avaient repérés un animal, Alessandro se tourna alors vers Nicolas en un regard ils se comprirent et voila que leurs deux chevaux dans une osmose parfaite se mirent à galoper dans les bois. La légèreté de leurs pas donnait à Alessandro l’impression de voler, voila pourquoi il l’avait appelé Hermès, le messager le plus rapide de l’antiquité, Hermès, son plus fidèle compagnon après Nicolas, il comprenait son cavalier comme si parfois leurs esprit ne formaient qu’un. Une unité, on dit que le chien est le meilleur ami de l’homme, mais que dirait-on du cheval si tous étaient comme lui ? Filant à une vitesse mirobolante, il arriva le premier, dégaina son fusil certes très lourd, mais chargé :

« - Nicolas, thou (ancienne forme du « you » ) should come now ! Oh Lord! How young it is, it’ll be a great dinner…”

Nicolas ne vint pas aussi rapidement que d’habitude, Alessandro se retourna et ce qu’il vit le figea sur place “Deus ! » s’exclama-t-il en latin. Nicolas fonça droit sur lui et avant qu’il n’eut eu le temps de se débattre, celui-ci l’empoigna lui mordant la nuque… et tout se mit à tourner. Quelques heures plus tard il se réveilla au même endroit que là où il était tombé, son corps lui faisait mal de partout, des sortes de courbatures plus fortes qu’habituellement, incapable de marcher il appela son ami, hurlant en vain. Celui-ci ne vint pas. Les heures passaient combien de temps ? 10 ? 12 ? Non plus ou moins il ne savait pas, il n’avait pas remarqué que la nuit était tombée tant il se concentrait sur sa douleur. Puis petit à petit, cela se résorba, il se leva, remarquant alors Hermès attaché à une longe, bien scellé, il le détacha, le monta avant de retourner dans son domaine. On vint lui ouvrir la porte et une servante l’informa que Nicolas l’attendait dans la salle à manger, il laissa Hermès au soin d’un palefrenier et monta quatre à quatre les marches, furieux. Ouvrant la porte tel Alexandre aux portes d’Alexandrie, il lui jeta un regard des plus haineux :

-Je vous avait prit pour un ami ! Qu’êtes vous au juste créature du Diable ?

- Allons, allons, je suis toujours votre ami, j’ai juste pensé que la vie éternelle vous plairez vous qui avez autant soif de connaissance, vous qui aimez l’histoire, à présent, vous allez la vivre , quel plus beau cadeau aurais-je pu vous faire ? Lui répondit-il en souriant et avec cette arrogance particulièrement agaçante.

- Quelques explications s’imposent ! Et sur le champ si vous ne voulez que je fasse venir un homme d’Eglise.

-Of course Sir, mais ne vous fâchez pas si vite et venez donc vous asseoir, le repas nous seras bientôt servi. Je m’appelle bien Lors Nicolas Lorrington, et j’ai bien 20 ans, enfin presque 21. J’ai été mordu il y a de cela près de deux ans, mais si je ne vous en ai pas parlé c’est que c’est une chose que je n’ai pas acceptée au début, et puis au fur et à mesure du temps j’y ai trouvé plus d’avantage que d’inconvénients. La vie éternelle, la jeunesse éternelle et le devoir de servir une force bien au dessus de nous. N’est-ce pas tout devoir de tout gentleman ? Ah et au passage, à la base les vampires ne sont pas des créatures du Diable, mais des hommes reniés par Dieu savez vous ? Certes beaucoup d’entre nous servent le Malin et j’en fait parti d’ailleurs je vous l’avoue, mais parce que ça offre une protection non moindre par rapport aux forces du Bien…

- Je ne veux en entendre plus ! Allez vous coucher Nicolas, il se fait tard ! Lui ordonna Alessandro assez séduit par son argument de choc sur lui, mais encore sous le choc.

-Tiens donc ? Vous ne me reniez donc pas ? Qu’avez-vous Alessandro ? Seriez-vous séduit ? Rappelez vous… nous devons découvrir le monde ensemble et pourquoi irais-je me coucher ?Laissez moi vous dire autre chose. Premièrement, les vampires ne vivent pas que la nuit, ce n’est que balivernes inventée par les « humains » si je puis dire ainsi. Mais c’est une chose que nous tournons à notre avantage puisque le jour leur vigilence est moindre. Être vampire, mieux vaut ne pas s’en vanter, vous le savez si vous ne voulez pas qu’on vous fuit comme la peste. Deuxièmement, nous ne lisons pas dans les pensées. Je vous souhaite une agréable nuit, mais réfléchissez bien. Troisièmement pour devenir vampire, il faut

Puis il se leva laissant Alessandro seul avec son esprit. Toute la nuit il réfléchit posant le pour et le contre, découvrir le monde et se cultiver à volonté, c’était le rêve, leur rêve à tous les deux. Mais en même temps on lui avait enseigné des valeurs auxquels il croyait dur comme fer… Il fallait qu’il réfléchisse, tuer ? c’était monnaie courante à cette époque, pour le moment il avait eu la chance de ne jamais avoir été appelé à la guerre, et sans doute n’avait-il aucune chance de s’y rendre n’ayant jamais été formé pour, mais on ne savait jamais. Et puis pourquoi tuer un être humain maintenant ? Un animal n’était-ce pas suffisant ? De toute façon à cause de son ami il savait qu’il n’avait plus d’âme mais il avait encore son sens civique. Oui il voulait découvrir ce qu’était réellement ce qui l’entourait .C’est à ce moment précis que le jeune homme s’endormit sur la table, un verre de vin en face de lui, ça faisait bien, que penseraient les domestiques en le voyant ainsi le lendemain matin ?

Suzette le réveilla en entrant pour débarrasser et elle fut suivit de peu par Nicolas, qui le connaissant sans doute un peu plus que les autres lui apporta un hiboux trouvé sur une poutre de sa chambre. Il vida le sang de l’animal, tout son sang devenant ainsi… un vrai vampire et en silence s’il vous plait. Il sentit alors la main de son ami posée sur son épaule « Je vous comprends. » lui dit-il alors.

2] Nicolas.

Voila maintenant près de 100 ans que nos deux amis parcouraient le monde, changeant ci et là d’identité pour ne pas être repérés. « Tous pour un et un pour tous » était la devise des trois mousquetaires, jamais l’un sans l’autre laissant tout derrière eux ne prenant que ce dont ils avaient besoin pour vivre dans le luxe et la volupté. Nicolas et Alessandro ne pouvaient se passer l’un de l’autre, à croire qu’ils étaient destinés pour passer leur vie ensemble. De l’amour dites vous ? Oui, mais un amour platonique aussi connu par le nom d’amitié intense. Quand l’un avait besoin d’aide, l’autre l’aidait à se relever pour en ressortir plus fort. L’un sans l’autre n’était rien… « parce que c’était lui et que c’était moi », dit alors Montaigne un jour à propos de son meilleur ami. Il en était de même pour Alessandro et Nicolas et tous deux croyaient que cela durerait éternellement… le destin pourtant semblait vouloir autre chose.

La rumeur c’était répandue au fur et à mesure de leurs voyages : ces deux là étaient des vampires. Insaisissables, comme le vent à chaque fois qu’elles les rattrapaient ils partaient alors vers d’autres lieux. Mais les chasseurs eux étaient aux aguets. Un soir de promenade sur le bord du lac de Genève, ils furent prit en embuscade par ce qu’ils croyaient être des voleurs. « Nous vous donnons tout ce que nous avons ! Mais s’il vous plait ! Laissez nous en vie » fit alors Nicolas. Cependant il semblait en être autrement, tous deux virent la lueur de haine dans leurs yeux, et c’est là qu’ils comprirent. C’en était fini pour Nicolas et Alessandro… que resterait-il ? Comment agir ? Leur premier réflexe fut de se défendre à la vampire, à savoir sauter sur deux d’entre eux et de les tuer… seulement durant cet acte barbare un troisième arriva et découpa la tête de Nicolas.

C’en était fini pour eux… ne resterait qu’Alessandro qui par pure vengeance après avoir tué « le sien » se rua sur celui qui venait de tuer son ami, le ruant de coup, l’attachant avec une corde trouvé sur le cadavre d’un des autres chasseurs à un arbre et… le tuant. Tant pis, la vie de son ami valait bien plus que celle des autres à ses yeux.

Jamais le bel italien ne se remettrai de cette blessure, il manque toujours quelque chose à sa vie, une chose inoubliable, un être parfait, un être qu’il aimait d’un amour intense et c’est ce qui fait de lui un chasseur de chasseur redoutable. Il voit en chacun d’entre eux le meurtrier de son ami et de ce fait n’a aucune pitié ni humanité dès lors qu’il s’agit de défendre les siens !

3] Tomblaine.

A quoi bon continuer ce voyage alors que son âme sœur venait de mourir ? pourquoi ne pas se suicider ? Parce que le goût de la vengeance est plus attrayant… parce que le fait de tuer toujours et encore le rendait plus heureux que jamais. Et surtout parce que Nicolas ne l’aurait jamais voulu. Alessandro se rendit alors à Tomblaine un repère de vampires. Au début il ne savait pas du tout ce qu’il allait y faire pensant certainement à une simple retraite pour faire son deuil quelque chose de très solitaire. Il ignorait alors les plans du diable et de tous les autres. Il ignorait tout des autres vampires n’en connaissant qu’un qui lui avait apprit tout ce qu’il savait. Il ignorait beaucoup de la lutte entre le Bien et le Mal, mais savait que les chasseurs étaient du côté du Bien. Et puis… peut être que dans sa solitude il avait besoin d’être entouré des siens ? Lesquels ? Ils étaient tous morts. Non, juste de se sentir au milieu d’une foule.

Il y prit son appartement jurant alors allégeance au Diable et à Dracula. Ces deux là se rendirent certainement compte qu’il était un « soldat » presque parfait, de ce fait on se mit très vite à lui confier des missions en tant que messager par exemple. On lui apprit aussi à mieux se servir de ses armes et à développer ses réflexes. Il était mieux à Tomblaine qu’ailleurs parce qu’on le prenait au sérieux et qu’il se sentait utile. Utile à qui ? Un matin il reçu une visite surprise au saut du lit. Dracula en personne assis dans un fauteuil et le regardant dormir. C’était gênant, mais il ne put rien dire :

« Alessandro, il faut que je vous parle de mes plans. Il faut que tu saches que d’ici quelques centaines d’années les vampires auront évolué, et toi aussi. Tu fais parti de cette nouvelle race dont tu ignores encore l’existence et les autres aussi d’ailleurs. Vous êtes l’élite, améliorée et les autres races… disparaitront. Saches que trois clans seront créés mais toi… toi je t’en ai choisi un d’office. Tu seras le premier membre du clan Or pur… mais pas le chef. Non, cela est réservé à l’une de mes filles. Elle vient d’arriver à Tomblaine et d’ailleurs si tu la croise ne lui parle pas de ce que je viens de te dire ! Elle a de grands principes et son éducation ne fait que commencer, disons… que nous lui en parlerons une fois qu’elle aura assimilés et acceptés les enjeux. »

On ne refuse rien à Dracula, celui-ci quitta la pièce.

Pendant quelques années on ne lui confia plus rien d’important son rôle était alors de s’amuser de prendre du bon temps et surtout de gagner en puissance. Un soir, alors qu’il observait le Mt St Michel du haut du toit, il entendit des pas, derrière lui se trouvait alors une magnifique jeune vampire sans doute avait-elle 20 ans lorsqu’elle avait été mordu mais il ignorait son âge réel. Il la salua. Quelque chose… se dégageait d’elle quelque chose qui imposait le respect… la fille de Dracula se dit-il alors. Oui, elle commençait à avoir des allures de patronne. Mais dans son regard, il y avait quelque chose d’absent. Il ignorait qu’elle venait de se faire sévèrement punir par Dieu en personne pour avoir séduit un de ses partisans. Entre eux le courant passa rapidement, la jeune vampire trouva en lui l’ami idéal, qui la faisait sourire.

Les années passent et se ressemblent, et plus ça allait plus il devenait un puissant vampire et très réputé. Il finit au bout de trois cent ans par décider d’aller voir ailleurs qu’a Tomblaine, parce qu’il avait finit par s’y ennuyer. Alessandro s’établit alors à Budapest, en Hongrie. Cette ville est parfaite pour lui, des loisirs à volontés des amants et amantes à gogo. On l’a oublié, on a oublié avec le temps, on a oublié qu’il était un vampire et c’est tant mieux ! Il recommence alors une vie trépidante faite d’excès en tout genre créant alors de plus en plus de gens comme lui. Et puis comme toujours au bout de quelques années il doit fuir, car sa jeunesse éternelle risque de surprendre… et de réveiller les soupçons. Il part alors pour Paris et y rencontre les plus grands écrivains français. Au début du 19ème il est rappelé à Tomblaine par Dracula, celui-ci lui annonce que les choses approchent et que d’ici 100 ans tout sera alors mit en place.

Il emménage à Londres (ou autre ville selon le forum..) en 1999 et décide de se trouver un métier. Ce sera le stylisme, très vite il monte et grimpe et commence à se faire un nom. Maintenant, eh bien c’est très difficile de passer devant un kiosque à journaux sans qu’il ne soit quelque part à la une d’un magazine. Karl Lagarfeld, Jean Paul Gaultier et tous les autres le respectent. Lui ? Que fait-il de son temps libre ? Il organise des fêtes somptueuses et très VIP dans son immense loft et ailleurs. Une vie de dévergondé pour un vieil homme à l’apparence si juvénile qui souhaite tirer un trait sur son passé. Il se demande comment il pourra alors gérer sa vie humaine et sa vie de vampire sans jamais que celle-ci soit révélée. Pour lui les médias et les paparazzis sont devenus un vrai poison…

Avatar:

Jude Law



Déesse Noire





• Fiche d'Identité

Nom : Nobunaga
Prénom(s) : Hotarubi
Surnom(s) : La déesse noire ou Crimson Eyes (Recemment aux Etats Unis)
Date de naissance : 20 janvier 1634 (Ere Edo au Japon)
Age : D’apparence 30 ans en réellement 374 ans
Signe Astrologique : Capricorne
Lieu de naissance : Kyoto, Japon
Nationalité : Japonaise
Statut / Occupation : Vampire.


• Profil psychologique et physique


Caractère :

Lorsque
l’on connait cette vampire, le premier trait de caractère qui vous
vient à l’esprit est son côté espiègle et sans scrupule. Vous me direz,
c’est sans doute ainsi que sont la plupart des vampires enfin comme on
dit il y a toujours des exceptions, mais cette Japonaise a sans nul ce
trait de caractère tellement exacerbé qu’il lui arrive de trahir même
les personnes en qui elle a le plus confiance chez ses congénères. Elle
est sans nul doute la dernière personne en qui il faille avoir
confiance sur cette planète. La seule personne en qui elle avait foi
était son père qui est mort alors qu’elle était très jeune. Cette
non-vie de vampire a forgé en elle un côté impitoyable que ce soit
envers les misérables créatures que sont les humains et surtout les
chasseurs mais aussi envers les vampires qui ne sont pas dignes
d’évoluer à ses côtés. Très impulsive, il lui arrive de rentrer dans
une rage d’une intensité extrême pour la moindre contrariété, du coup
une envie de tuerie nait en elle si bien qu’elle peut massacrer
quelqu’un qui se trouve sous sa main sans raison particulière. Enfin
une autre facette de sa personne que certains pourraient appeler de la
démence ou de la folie se dévoile lorsqu’elle est en présence de
vampires très puissants, son esprit s’emballe, elle ne contrôle plus
rien comme si le pouvoir des vampires qui l’entourent constituait une
drogue pour cette jeune asiatique aux crocs et aux ongles acérés :
Advienne que pourra lorsque celle-ci rencontrera la Comtesse Bathory….

Défaut dominant:

Si
c’était elle qui répondait elle serait sans doute trop fier pour
admettre le moindre de ses défauts et pourtant cette vampire qui croit
dur comme fer à l’omniscience de la race des suceurs de sang est
évidemment trop sûr d’elle. Elle ne peut admettre la moindre faiblesse
ce qui la rend impitoyable vis-à-vis des autres : selon le point de vue
ceci peut être aussi une qualité. Sa grande susceptibilité ainsi que sa
tendance à s’emporter très (trop) facilement constitue un certain
handicap car elle perd dans ce cas une bonne partie de ses moyens ne
répondant plus qu’à ses pulsions meurtrières.

Qualité dominante:

Ayant
dû prendre la tête du clan de son père, cela lui a permis de devenir
une bonne meneuse d’hommes, sachant être intransigeante vis-à-vis des
hommes qui travaillaient pour elle. Elle sait aussi ne pas faire dans
la demi-mesure lorsqu’il s’agit de massacrer des chasseurs, elle est
impitoyable, elle ferait donc une très bonne servante pour la reine des
vampires. Enfin Hotarubi sait profiter de ses courbes félines et
envoûtantes pour tourner la tête des hommes pour mieux les tuer
lâchement ou bien les vampiriser quand ca lui chante.

Apparence physique :

Cette
jeune asiatique, si on ne prend pas en compte son âge réel, est d’une
taille moyenne pour une personne d’origine asiatique et qui plus est
japonaise, son corps joliment sculpté est sans doute un de ses plus
grand atout pour appâter les humains. Généralement sa chevelure d’un
noir ébène très profond est attachée mais il lui arrive de la laisser
libre en une cascade de cheveux. Depuis que son père l’a vampirisé
faisant d’elle son enfant chéri, ses yeux ont viré progressivement au
rouge lui valant le surnom de Crimson Eyes, mutation vampirique ou
héritage d’un des plus grands vampires du Japon qui sait ? Enfin et
c’est sans doute l’une de ses particularités physiques les plus
singulières, elle possède des ongles surdimensionnés, qu’elle a laissé
poussé, faisant d’eux une arme redoutable et très efficace car très
acérés.
Elle est généralement habillée de cuir qui moule
sensuellement son corps mais elle sait aussi portée lorsque l’occasion
s’y prête des robes amples cependant sa couleur dominante et préférée
reste le noir comme pour bon nombre de vampires.

• Histoire

Genèse :

Japon, Province de Kyoto, Ere d’Edo

Dans
cette époque troublée que traversait le Japon sévissait le plus
dangereux des vampires : Oda Nobunaga, faisant régner la terreur dès
que la nuit tombait sur la région de Kyoto, mettant à feu et à sang le
moindre village qui était sur son chemin. A ce que la Légende raconte
Oda Nobunaga était un puissant seigneur qui à l’époque Tokugawa avait
essayé de renverser le pouvoir en place menant son armée à travers tout
le Japon mais lors d’une bataille légendaire l’opposant aux armées du
Shogun en place il reçût une flèche pleine gorge ce qui le tua
instantanément mais alors que la bataille cessa personne ne fût capable
de retrouver le corps. Selon des témoins hasardeux, il aurait vendu son
âme au diable puis serait revenu du monde des morts sous la même
apparence mais vampirisé. Selon d’autres sources, un homme habillé
intégralement de noir aurait emporté le corps et lui aurait transmis le
don obscur quoi qu’il en soit cet homme sans pitié et sans scrupule
s’adonnait à d’énormes massacres de la population locale.
Yumi
petite fille de 2 ans à peine vivait avec ses parents dans un petit
village près de Kyoto, vis-à-vis du statut de ses parents, elle serait
sans doute destinée à épouser un agriculteur du village ou des
bourgades environnantes en tous cas rien ne laissait présager un aussi
sombre futur. Alors que les derniers rayons étaient en train de
disparaître petit à petit et que les derniers habitants personnes qui
se trouvaient hors de leurs maisons se pressaient de rentrer, se
dessinait le destin funeste de cette bourgade. Soudain un bruit tout
d’abord sourd puis qui se faisait de plus en plus présent, d’où pouvait
provenir ce bruit mais alors que les villageois sortaient de leurs
habitations pour vérifier ce qui se passait, une cinquantaine de
chevaux débarquèrent telles des furies, sur ces montures des guerriers
impitoyables arborant les armures du Seigneur Nobunaga. Ces soldats qui
semblaient venir directement de l’enfer au vue de la noirceur de leurs
âmes, massacraient tout sur leur passage : enfant, homme, femme,
personnes âgée tous passaient sous le courroux de leurs armes acérées.
En quelques minutes le village fût mis à feu et à sang, les habitants
furent tous massacrés pour le plaisir du vampire Nobunaga mais alors
que celui-ci pénétrait dans le village avec son cheval celui-ci aperçût
une petite fille qui avait miraculeusement survécue à tout ceci. Le
Seigneur descendit de sa monture puis se dirigea vers cette petite
fille qui semblait complètement apeurée, le vampire la regarda un
sourire aux lèvres comme s’il voulait apaiser la peur de la jeune fille.

« Ne t’inquiètes pas petite fille, tout va s’arranger. dit Oda d’une voix calme et apaisante, il prit la jeune Yumi dans ces bras puis retourna sur son cheval.

Il
regarda d’un air sérieux et glacial son second et lui indiqua de brûler
entièrement ce village puis il décida de retourner à son château. Dès
lors Yumi fût éduqué par le vampire qui lui apprenait la haine du genre
humain qui malgré tout était leur source de vie, il rebaptisa le jour
de ses 10 ans : il l’appela Hotarubi en référence à sa femme disparût
lors des guerres contre le Shogun Tokugawa. Même si elle n’avait encore
le don obscur, la jeune fille était élevée comme tel le seigneur
prévoyant de la vampiriser lors de son adolescence….

Fait(s) de sa vie avant sa transformation :

Oda
Nobunaga malgré son caractère impitoyable, s’avérait être un bon père,
il s’occupait bien de sa fille veillant à ce qu’il ne lui manque rien
et que les autres vampires du clan ne soient pas tenté d’en croquer un
morceau Tout ce passait bien pour cette jeune fille qui vivait dans un
monde dont elle connaissait les codes et autres coutumes mais nullement
l’essence même, elle découvrait cet autre monde en observant son père
agir et s’opposer aux Tokugawa. Cependant malgré la puissance relative
d’Oda Nobunaga, le Shogun était en train de prendre le dessus, les
vampires du clan périssaient un par un ce qui avait tendance à
grandement l’affaiblir. Puis vint enfin le jour t’en attendu des 10 ans
de la jeune fille, contrairement à ce qu’il se faisait d’habitude, une
grande cérémonie fût organisée, Hotarubi se présenta devant son père
son corps enveloppé dans une robe de cérémonie japonaise blanche. Oda
après de grandes incantations qui finalement au bout du compte ne
servaient à rien, présenta ses crocs auprès de la gorge de sa fille et
les planta d’un geste délicat. La jeune fille étouffa un léger cri
prouvant à son père qu’elle était digne de recevoir le don obscur et
pour faire honneur au clan, Oda se retira puis après s’être légèrement
entaillé les veines d’un bras, fît boire son sang à Hotarubi qui
commençait à perdre conscience. Hotarubi Nobunaga, future déesse noire,
était née….

Fait(s) de sa vie après transformation :

La
jeune vampire apprenait les choses en regardant son père se battre
régulièrement contre les armées du Shogun, elle commençait vraiment à
devenir une vampire aguerrie, elle apprenait les arts obscurs
élargissant sa palette de pouvoirs. Cependant un évènement allait
brusquement obliger Hotarubi à quitter son pays : la Bataille de
Ceinan. Le Clan Nobunaga se voyait de plus en plus menacé, obligé de
fuir à travers le pays, les armées gouvernementales ne cesseraient leur
poursuite tant que tous les vampires du clan ne seraient pas retournés
en enfer. Une vraie chasse aux sorcières fût déclarée dans le pays, les
sangsues étaient traquées dans le moindre recoin où elles se terraient,
c’est alors que lorsque ces dernières se réfugièrent dans le village de
Ceinan, un membre du clan lassé de devoir fuir constamment et sans
doute dans le regret de cette vie d’avant, donna le lieu exact où les
vampires se cachaient. Les Tokugawa réunirent leurs armées puis
donnèrent l’assaut, Oda obligea sa fille à fuir et alors qu’elle fuyait
elle aperçût son père en train de se faire massacrer par plusieurs
soldats. Elle eût du mal à s’en remettre, elle a beaucoup erré sur le
continent d’Eurasie ne sachant où aller. Elle se retrouvait
complètement perdue sans famille, elle resta un moment en Russie
s’intégrant aux vampires locaux, c’est auprès d’eux qu’elle reprit ses
esprits finalement et se reprit goût à la non-vie jurant de faire payer
aux centuples ses humains qui lui avaient prit son père. Elle participa
à beaucoup de massacres au cours des siècles suivants laissant sa
marque dans beaucoup de pays, c’est à cette période que lui vint le
surnom de « Déesse noire ». Elle opta après avoir reprit toutes ses
capacités, de se diriger vers le Vieux Continent, lorsqu’elle arriva
dans la region de Transylvanie, un pouvoir énorme vint à elle, un
vampire de cette région était extrêmement puissant ce qui avait
tendance à mettre Hotarubi dans des sortes de transes mystiques. Elle
réussit à localiser la source de ce pouvoir extraordinaire, elle se
nommait Erzébeth Bathory, elle était bien plus puissante que la vampire
japonaise si bien que cette dernière ne pût que se mettre à son
service. Servir à ses côtés était synonyme de massacre et autres
agissements malsains qui ne pouvaient qu’attirer Hotarubi. Durant ces
années elle se mit à une entière servitude envers la Comtesse même si
elle n’était pas la préférée devancée par Anna Darvulia qu’elle
n’appréciait pas vraiment. Encore une fois après que sa maîtresse fût
chassée par les humains, Hotarubi dût fuir Cjesthe pour s’en aller aux
Etats Unis. Le pays de la liberté lui permit de refonder le clan
Nobunaga et hanter plusieurs villes américaines. Plusieurs dizaines
d’années passèrent lorsque finalement elle fût confrontée à un chasseur
qui s’en prit à elle dans une des boites qu’elle possédait (voir ma
fiche pour comprendre), elle décida de retourner en Europe. Non qu’elle
fuyait ce Chasseur présomptueux qui ne méritait qu’une chose : de se
faire égorger vif par les ongles acérés de la vampire, selon des
rumeurs insistantes Erzébeth venait de réapparaître. Cela fût confirmé
lorsque Hotarubi arriva sur le Vieux Continent, le pouvoir qu’elle
ressentit et qui lui procurait toujours le même frisson ne pouvait
provenir que de sa maitresse. Elle devait la retrouver au château de
Cjesthe, le compte du Chasseur viendrait ensuite……




Signes particuliers:

Le
tatouage d’un dragon écarlate qui démarre du bas des reins et qui finit
sur l’épaule droite, c’est le signe de son clan. Son surnom de déesse
noire vient du fait qu’elle s’habille constamment en habit de cuir noir.

Lorsqu'elle approche un vampire de grand pouvoir, elle ne se contrôle plus, rentrant dans une sorte de transe ...

Elle pratique plusieures base de la Magie Noire.

Un petit tics, lorsqu'elle a ses griffes, elle s'amuse à les frotter l'une contre l'autre, ce qui fait un bruit aigû assez désagréable ...

Pouvoirs: 1) Capacité de pouvoir faire fondre, remouler les métaux. Ainsi, elle peut renforcer ses ongles et les angrandir en les recouvrant de matière comme le titane. En réalité ses ongles font 4 cm de long, ensuite elle les aggrandit par ces alliages pour de grand dégats ...
2) Elle a la capacité - ce qui ne fait que renforcer la folie de ses transes - de voir les esprits, et de pouvoir les commander. Ce qui peut agréablement l'aider pour la Nécromancie, bien qu'elle n'en pratique qu'en cas d'extrème urgence.

• Autres
Personnalité de l'avatar : Kelly Hu

Créateur : Xalker 2.0
Distribution : Sous demande

Miss BlackHeart

Ce personnage est sous Copyright.
Alors veuillez demander si vous voulez l'emprunter.
Il a demandé beaucoup d'heure de travail,
Et son propriétaire y tiens beaucoup.
Merci donc de laisser un commentaire, avec adresse e-mail,
Si vous y tenez.
Jenn.
Poste Vacant de Xalker 2.0

Nom : Scorta

Prénom : Annabella, mais elle est tout le temps appelée par son surnom, Miss Blackheart.

Âge : Un peu moins de 700 ans.


Histoire


Je me nomme Annabella Scorta, mais on me surnomme « Miss Blackheart ». Je naquis en l’an de grâce 1348 dans un petit village d’Italie appelé Bolzano, dans une famille de pauvres paysans qui avaient du mal à subvenir aux besoins de quatre enfants, ma venue ne fut pas appréciée et c’est très tôt, face à mon incapacité à aider aux tâches quotidiennes de la maison, que je fus envoyé au couvent.

Enfin ce n’était pas un simple couvent, c’était une forteresse qui abritait un ordre très particulier de la Chrétienté, les Recluses du Cervin, peu de choses étaient connues de ces nonnes.
Dans le village personne n’avait vu à quoi elles ressemblaient ni même entendu leurs voix, si bien que circulaient sur elles les pires rumeurs: on les disait si laides et méchantes qu’elles auraient pu être les filles de Satan lui-même ; on disait qu’elles buvaient du sang humain mais surtout qu’elles étaient des sorcières et qu’on les avait condamnées à perpétuité dans cette prison en hauteur, des rumeurs plus absurdes les unes que les autres mais qui faisaient fuir plus d’un curieux qui voulait séjourner dans les montagnes que surplombait le couvent. Dès lors, lorsqu’une nonne de cet ordre mourrait, les autres envoyaient une volée de pigeons voyageurs et Rome envoyait une autre jeune fille pour la remplacer. Les Recluses envoyaient la morte dans son cercueil attaché à des cordes puis les gardes du Vatican harnachaient la remplaçante, tiraient trois coups sur la corde et les nonnes la faisaient monter dans cet antre si particulier.

C’est ce qu’il m’arriva l’année de mes 17 ans, ma famille étant très croyante et connue au sein de la communauté chrétienne du village. Cependant lorsque je faisais face à l’immensité du couvent par une nuit sans lune mais où la pluie battait, la descente de la morte ne se passa pas comme d’habitude et le cercueil se détacha et vint se briser près de moi et des gardes. Lorsque je m’approchais du cercueil à moitié ouvert, la main de la morte m’agrippa le bras puis lorsque les gardes approchèrent, elle lâcha son emprise, était-ce un présage ou une mise en garde pour me prévenir de ce qui m’attendait là haut, je ne le saurais jamais.

Après une ascension peu rassurante, je finis par atteindre la bâtisse, je découvris finalement que ces nonnes que tout le monde s’amusait à traîner dans la boue, n’avaient rien de maléfique. Au contraire, elles furent d’une grande douceur avec moi, seulement elles avaient une mission qui ne permettait pas qu’elles soient en contact avec la population locale. Ce but, je le découvris bien assez tôt: elles étaient perchées dans ce couvent car elles devaient étudier mais surtout protéger des évangiles hérétiques et autres œuvres sataniques récupérées durant l’Inquisition pour préserver le monde de leurs blasphèmes. C’était surtout pour empêcher la chrétienté de sombrer et de permettre à la foi de rester intacte dans le cœur de tous les fidèles.

Je sus rapidement où était ma place, j’appris rapidement ce qu’il fallait savoir dans cette bâtisse et j’aurais sans doute pu y rester pendant tout le reste de ma vie, étudiant toutes ces œuvres qui faisaient si peur au Vatican. Cependant lors d’une nuit, ma vie allait prendre un autre tournant…
Même au sein de ce lieu, il était facile de savoir ce qui se disait en bas, des émissaires revenaient régulièrement aux portes du couvent pour donner les nouvelles de la région ; une en particulier faisait trembler les chaumières: un groupe qui se faisait appeler les Voleurs d’âmes mettaient le pays à feu et à sang. C’était un groupuscule de vampires qui avaient décidé de se mettre en quête de certains écrits sataniques et qui s’attaquaient à tous les édifices religieux de la région. Il était clair qu’ils atteindraient bientôt le couvent de Bolzano. La mère supérieure ordonna que l’on brûle tous les écrits païens avant que ces démons ne marchent sur le couvent, il ne fallait pas que ces textes profanes tombent dans leurs mains. Mais une fois la nuit tombée, les démons attaquèrent et on disait qu’ils ne laissaient jamais personne derrière eux. Dans un rapport de l’évêché, cette nuit avait été baptisé la Nuit Ecarlate et ce rapport ne faisait mention d’aucun survivant, dans l’absolu ce rapport était vrai mais au relatif, j’avais survécu. Enfin si on peut appeler ça survivre…

Alors que l’assaut des Voleurs d’Ames allait être imminent, la mère supérieure m’ordonna d’aller me cacher dans un des réduits du dernier étage. M’y pressant, je priais Dieu pour qu’ils ne me trouvent pas, mais c’était sans doute peine perdue. A travers la porte, j’entendais les cris de douleur des nonnes qui devaient souffrir mille maux aux prises avec ces créatures sans scrupules. Les cris cessèrent, puis plus un bruit, comme si le couvent avait retrouvé sa quiétude habituelle. Je décidais d’entrouvrir la porte de ma cachette pour jeter un coup d’œil, les images du carnage parvinrent à mes yeux, plusieurs nonnes avaient été crucifiées et demeuraient figées dans un rictus de douleur qui en disait long sur ce qu’elles avaient enduré. Non loin de vomir, j’entendis un rire sarcastique non loin de là, je fermais la porte par réflexe, n’osant penser à ce qu’"ils" pouvaient faire à une jeune sœur comme moi.


– Notre invitée surprise s’est enfin décidée à se montrer ! Ne sois pas timide ma petite, nous n’allons pas te manger - enfin, pas maintenant...

Des rires aux éclats se firent entendre dans le couloir, des pas résonnèrent à travers la porte, il était évident qu’"ils" venaient pour moi. Je priais les mains croisées, les yeux fermés n’attendant que la miséricorde de Dieu. La porte s’ouvrit tout doucement laissant apparaître un homme vêtu d’une cape noire dont le visage blafard affichait un sourire moqueur.
Il me prit par la main. Ne voulant pas me laisser emmener par cette créature tout droit sortie des enfers, il intensifia la poigne sur mon bras ce qui me fit hurler de douleur.
Il me regarda avec un air charmeur et tout en passant ces doigts cadavériques sous mon menton, il planta ses crocs dans mon cou. Une douleur indescrïptible puis une sensation de légèreté, de liberté, il venait de me vampiriser et par ce biais faisait de moi un Voleur d’Âmes.

Durant le XVième siècle, nous écumâmes toute l’Europe en quête d’œuvres sataniques, mais après une intrusion dans un couvent de Zarmatt - d'où nous revînmes hélas bredouilles - je commençais à douter de mon maître. Mon apprentissage était achevé, j’étais plus puissante que les vampires de la meute, peut-être même que mon mentor, j’étais avide de sang et de tueries mais surtout je voulais une liberté infinie, sans contraintes. Les scarifications au niveau de mes avant-bras qui représentaient des flammes et à leurs sommets une croix inversée, indiquaient bien mon appartenance et elles ne disparaitraient jamais mais mon esprit lui était ailleurs. Et ce fut lors d’une halte en Autriche, que je fis faux bond à mes compagnons, j’étais destinée à autre chose.

Je parcourus l’Europe en semant la mort sur mon passage, tous les pays portaient des traces de mes déplacements, je faisais ainsi un signe à la communauté vampirique, et ce fut un arrêt en Hongrie qui me fit rencontrer celle pour laquelle j’ai tellement d’estime et même d’amour...
J’étais dans un petit village non loin de la région de Nyitra, je venais de massacrer des religieux au sein de l’église du village, mon tempérament imprévisible, meurtrier et parfois même fou s’exacerbait si bien que je partais souvent dans des folies meurtrières juste pour me calmer. Ce fut là que je la rencontrais : Lady Violante, vampire, mais surtout femme cultivée que j’adorais. Nous fîmes chemin ensemble, elle se dirigeait vers un village dénommé Cjesthe dont la communauté vampirique semblait assez étendue. Notre chemin fût bercé de massacres, de sang, mon esprit s’apaisait auprès d’elle comme si elle était une sorte de havre de paix pour la personne instable que j’étais. Arrivées à Cjesthe, nous entrâmes en contact avec les vampires du coin ; malheureusement ma réputation me précédait et au bout de quelques années, je dus quitter Cjesthe. En lui promettant que je reviendrais, je quittais Violante pour rejoindre Budapest, et ce fut là que j’appris que les Voleurs d’Ames me voulaient morte à tous prix, ils me traquaient à travers toute l’Europe.

Mon escapade m’emmena en France, je découvris la noblesse, la culture de ce pays qui resplendissait dans tout le Vieux continent, mon attention se porta sur un jeune noble: François De La Bouvière qui malgré son jeune âge en savait beaucoup sur les pratiques occultes qu’il m’enseignait s’en rien demander en retour. J’appris donc la magie noire ; malheureusement cet apprentissage ne fût que trop court à mes yeux, les Voleurs d’Ames ayant déjà repérés ma trace, je fus contrainte de m’exiler en Angleterre.
Avant de m’en aller, j’eus connaissance de la présence de Lady Violante en France mais mon départ m’empêchait de la revoir, cette privation fût pour moi un choc qui fit ressortir en moi la folie qui me caractérisait tant, le début du 16ème siècle fût pour moi une suite de massacres de sang, mon esprit ne trouvait pas le repos et ce fut à cette période que naquit ce surnom que je gardais dorénavant: « Miss Blackheart », à cause des meurtres impitoyables auxquels je m’adonnais. Je fis la connaissance d’une certaine Isabella Valentine, aristocrate, résidant à Londres. Secrètement, elle était alchimiste, art qu’elle maitrisait rudement bien. Elle était en train de confectionner une épée qui selon elle aurait le pouvoir de se rétracter et se dilater à l’infini, une sorte de fouet avec de multiples segments ; malheureusement Isabella ne maitrisait pas assez la magie noire. Elle m’en fit cadeau pensant que je pourrais la maîtriser, j’emplis cette épée de mon aura maléfique ce qui faisait d’elle un excellent outil de mort, la lame étant très acérée. Isabella ne voulant pas que sa création soit destinée à des massacres, tenta de m’empêcher de m’emparer de son épée ; ainsi la première victime de cette arme fût sa créatrice. Je décidais de la nommer « Valentine » en hommage à cette femme.

Je me sentais enfin prête à affronter les Voleurs d’Ames et à les exterminer pour de bon, malgré tout j’avais en tête de décider le lieu et le moment de cet affrontement. Je choisis de retourner en France qui était alors en pleine révolution, les massacres qui caractérisaient cette période ne furent qu’une « bénédiction » pour le vampire assoiffé de sang que j’étais.
Je revins dans mon pays natale mais l’accueil ne fût pas très chaleureux car le Vatican avait lancé la chasse aux vampires en créant l’Ordre de La Rose Noire, j’entrais en contact avec des vampires du Sud de l’Italie. C’est là que je fis la connaissance d’Ethan Hawk, un vampire d’origine anglaise ayant été contraint de quitter son pays en raison des chasseurs qui avaient en tête, l’église aidant, de supprimer tous les vampires qui peuplaient l’île.

Ce vampire était d’une grande sagesse mais n’avait pas l’étoffe d’un chef, ce fut pour cela que cette meute passa tout son temps à fuir les attaques incessantes du Vatican, vivant terrée comme une horde de chiens sauvages. Sur les conseils d’Ethan, je pris la tête de la meute en lui donnant le nom de Cosa Nostra, nous avions décidé de mettre l’Italie à feu et à sang, il fallait pour cela vampiriser un maximum d’humains, nous pourrions ainsi nous attaquer à l’ordre de la Rose Noire qui commençait à battre de l’aile. Le Vatican voyant qu’il n’avait plus d’emprise même dans ses propres terres décida de redoubler de violence.
C’est alors qu’un nouvel Ordre vit le jour, celui des Illuminatis, ne pouvant mener une guerre sur deux fronts, ma meute fut bien vite décimée, Ethan et moi durent nous exiler une nouvelle fois, cette fois-ci en Amérique.

Devant cet échec cuisant, il nous fallut prendre du recul et faire profil bas un petit moment, nous nous fondâmes discrètement dans la communauté vampirique de New-York sous de faux noms. Nous vécûmes ainsi plusieurs années, laissant les bouleversements historiques faire leurs œuvres, nous menions une vie de débauche faite de sang et d’alcool. Ce fut à ce moment-là que les Voleurs d’Ames décidèrent de passer à l’action et de me punir de ma traitrise. Ce fut à Madison Square que cet affrontement éclata, Ethan mourut de la main de mon ancien maître, il était temps pour ce dernier de goûter à Valentine. Le combat se termina lorsque je décapitais mon mentor, regardant les autres qui ne savaient que faire face à une vampire qui venait de tuer leur Seigneur, je ne pouvais que déplorer la perte d’Ethan qui était un ami très cher. Ayant comme idée de revenir punir les Illuminatis de leur affront, je décidais de prendre la tête des Voleurs d’Ames, après un long périple pour les fuir, je rejoignais cette meute, composée de guerriers vampires aguerris.

Nous fîmes un retour discret en Europe ne voulant pas éveiller les soupçons sur notre présence, ce fut alors que j’appris la mort de cette amie que je n’avais pas vue depuis si longtemps, Lady avait été tuée par une Illuminati, je venais de perdre deux vampires qui avaient été bénéfiques à mon existence. Il était temps d’agir, ce fut alors que par une nuit sans lune accoutrés de bures et de capes noires, nous attaquâmes un bastion de ces chiens qui avaient eus raison de tellement de vampires. Au final, tous les Illuminatis de la place furent exécutés, crucifiés, éventrés, décapités, toutes des morts trop douces. Dès lors nous décidâmes avec ma meute de poursuivre une sorte de croisade contre cet ordre l’appelant « la Croisade Noire ».

Ce fut au cours de celle-ci que nous approchâmes de nouveau de la Hongrie où je l’avais rencontrée, que j’appris la résurrection de Lady Violante, il me fallait la retrouver, la voir serait comme finir le voyage sanglant que j’avais commencé.
Je me mis donc en route vers Cjesthe, laissant le soin à un autre vampire de diriger les Voleurs d’Ames.


Caractère

Peu de personnes peuvent en témoigner, je suis un cas qui ferait sans doute école dans les études psychologiques. Je suis totalement imprévisible, un coup blanc, un coup noir…. Les meurtres et les contrariétés sont généralement les préludes à mes sautes d’humeurs sanguinaires, il est possible que je massacre des humains juste pour me clamer ou bien pour étancher ma soudaine envie de meurtres. En moi naît une envie de faire vibre mon épée et faire couler le sang si la personne en présence le mérite. Au contraire en présence de personnes digne de confiance ou nullement agressives, je me transforme en une personne sociable, joyeuse parfois moqueuse, mutine, ce trait de caractère s’offre à n’importe qui humains, vampires…… Cette instabilité tend régulièrement vers le mauvais côté, mon surnom rime souvent avec meurtre. Temps à autres je sais rester limpide à observer les choses qui m’entourent ne daignant aucune attention à qui que ce soit.

Descrïption physique

D’un teint blafard, je tiens l’apparence d’une jeune femme de 25 ans, les autres voient en moi une femme de taille moyenne, d’apparence relativement fébrile mais ce n’est que l’apparence malheureusement tellement d’humains ou de vampires se basent là-dessus, les imbéciles. Mes cheveux de couleur noire reflètent ma personnalité et cette éternelle cruauté qui me caractérise quand la mort a sonné le glas.

Constamment habillée de noir, j’aime contraster avec mon teint de peau que la vampirisation m’a donné. Mes mains livides, mes lèvres fines ont attiré plus d’un humain dans ma toile que je referme impitoyablement lorsque je décide que le moment est venu.
Je peux paraître pour une jeune fille qui déambule sans but précis mais beaucoup s’y sont mordus les doigts enfin non c’est plutôt moi qui les ai mordus.

Signe particulier :

Mon caractère imprévisible fait de moi un danger permanent pour la personne qui me côtoie mais la maitrise de mon arme « Valentine » est sans doute la plus grande source de méfiance que toute personne devrait avoir.
Cette épée gorgée de magie noire qui peut se contracter, se dilater à volonté, est une arme redoutable, elle me suit constamment dans mes actes meurtriers.
A mes bras, trône le tatouage des Voleurs d’Ames qui resteront ma meute d’origine, des flammes qui se rejoignent sur une croix inversée.
En Angleterre alors que je suis à l’apogée de mes meurtres, je décide de me faire tatouer, un cœur noir avec deux paires d’elles, ce tatouage reflète complètement mon tempérament, un cœur volage qui ne s’est jamais lié à qui que ce soit pour l’instant et qui est noir comme une nuit sans lune, les tueries l’ayant particulièrement entaché.

Camp : Vampire.

Avatar : Cristina Scabbia |chanteuse de Lacuna Coil


Créateur :
Xalker 2.0
Distribution :
Sous demande.

Aurore McLane

Ce personnage est sous Copyright.
Alors veuillez demander si vous voulez l'emprunter.
Il a demandé beaucoup d'heure de travail,
Et son propriétaire y tiens beaucoup.
Merci donc de laisser un commentaire, avec adresse e-mail,
Si vous y tenez.
Jenn.

Attention, ce personnage est censé détester son père.
Un lourd secret, qu'il n'est pas nommé dans l'histoire pour vous laisser le choix, mais à la base, le père a engager un tueur pour tuer sa femme ...

  • Noms&Prénoms : McLane, Aurore Elizabeth
  • Nationalité&Origines : British
  • Âge : 20 ans
  • Signe Astrologique : Vierge

  • Caractère :
Quand toute la complexité et la simplicité d’un organisme s’entremêlent pour devenir … Aurore.
D’apparence … Aurore est l’innocence, et la naïveté ré incarné. De son allure d’héroïne de contes de fées, la demoiselle aime s’amuser avec son image pour tromper son entourage. Moelleuse à l’extérieur, et dure et croquante à l’intérieur. Une personnalité bien trempée qui de l’extérieur peut ressembler à des plus banale. Or … Ce n’est pas le cas.
La demoiselle est une petite futée, s’aventurant depuis déjà quelques longues années dans le mensonge : ce n’est qu’un jeu pour elle. Tromper les autres, tester leurs capacités de pouvoir percevoir ses mensonges. Surtout sournoise et manipulatrice, il lui arrive d’user la manipulation sans même se rendre compte. Inconsciemment calculatrice et sournoise, ces deux défauts sont bien ancrés dans sa personnalité, presque indécelable. Comment peut-on imaginer une chose pareille d’une demoiselle qui semble si sensible, douce et surtout naïve ?

Elle joue, se servant de son image en la jouant. Très bonne comédienne d’ailleurs. Quand une personne cherche à la connaître, elle reste superficielle sur les bords, jouant le jeu, de la petite sainte ni touche, de la personne gobant le pire bobard. Et cela marche très facilement, car personne ne cherche à comprendre, rentrant facilement en confiance. Un petit sourire fin et innocent presque toujours sur les lèvres, son regard brille aussi souvent de malice. Sa petite langue aussi sort pour faire un petite grimace, ou une moue boudeuse. Obtenir ce qu’elle veut, elle sait très bien comment faire. Et sa, avec une facilité incroyable…
Mais l’intérieur … Celui qui est bien cassant et croquant … Aurore est une personne bien perverse. S’abandonnant à des jeux coquins avec ses multitudes d’amants et amantes. Ceci est un jeu, simple dont aucunes règles n’existent. Très attaché aux fouet et aux menottes, ainsi qu’aux tenues sexy, le petit ange, se transforme bien souvent en petite diablesse. Cruelle et sadique sur les bords
Dotée d’une beauté innocente des plus déstabilisante, elle peut en surprendre plus d’un, quand elle s’abandonne à des jeux …

Cependant. Ceci n’est qu’en première et deuxième couche. La troisième couche d’Aurore est bien plus complexe. Aurore est extrêmement sensible. Mais aussi très fière. Elle n’arrivera jamais à admettre qu’elle à tord, ou bien de pouvoir montrer ses faiblesses à d’autres personnes. Montrer qu’elle souffre, qu’elle est triste est insupportable pour elle. Elle veut des regards qui brillent de jalousie, et d’envie sur elle. Rien d’autre. Elle ne veut pas de regard brillant de pitié ou autre ; envers elle. Pouvoir se confier sincèrement, et dire des choses qui lui viennent du fond du cœur est quasi nulle. Ce n’est que al comédie et un sourire, une amie en façade. Dites lui quelque chose, assez forte pour que cela transperce sa double carapace, elle aura une réaction soit des plus violente, ou des plus calme. Une fois touchée, elle devient bien vite lunatique, et ses excès de colère sont horribles. Omniprésent, et très violent. Ce pour cela, qu’elle prend des médicaments. Pour se stabiliser. Sans, elle s’énerve pour un rien. Quand il lui arrive d’oublier de les prendre, elle est très irritable. Et assez agressive. Elle ne sait pas quel moyen ce médicament fait des siennes, mais en tout cas, elle se rends compte facilement de ces effets relaxant.

  • Histoire :
Petits cliquètement. Mélodie endormeuse, berceuse pour enfants.
Un berceau, des proches autour. Un nouveau né, au crâne parsemé d’une mini chevelure blonde. Une mère souriante, un home heureux. Aurore était née le 45 octobre, à 11h45.
Les parents de la petite merveille contemplaient leur enfant. Isabella avait des problèmes de fertilité ; cela serait bien son premier et dernier enfant. Alors autant qu’il soit gâté. Le bébé ressemblait déjà beaucoup à sa mère. Un bien joli nourrisson.
Non. Cet enfant ne passa pas une enfance normale, entre guillemets. Cette famille était riche. Ne connaissez vous pas la boîte de mannequin « Tash Clichés » ? Non ? Mais alors vous ne lisez pas suffisamment les magazines et en particulier ceux de mode, et haute couture. Cette boîte est emplie de mannequins. Masculin & Féminin. S’éloignant quelque peu de l’anorexie des plus totale. Pour porter les tenues données, il faut des formes. Une grande taille, pas maigre, ni grosse. Et cette entreprise de tops models, était menée par Isabella Beccalina, ancienne modèle, elle-même. Cependant son mari : James McLane, était quand à lui propriétaire d’une île, rien que sa ! Et était vice—président d’une ligne d’hôtels assez prestigieux en Amérique. Cependant son rêve, et son projet, était d’ouvrir son propre hôtel de luxe, et qu’il implanterai sur son île, et sûrement aussi un peu partout dans le monde. Il le nommerait « Gold Paradise Hôtel »
Pour en revenir à la petite Aurore, elle fut gâtée, et une petite peste d’allure angélique. Cependant, plus elle grandissait, plus elle était belle, endossant un visage et une allure de petite sainte. L’enfant parfaite, que tous parents rêveraient avoir. Elle était d’une pureté inégalée. Et d’une grande délicatesse. Déjà à dix ans, elle connaissait les mille et une manières de se tenir à table, ou en présence de personnes haut de gamme. Assez futée, et pertinente aussi. Elle savait aussi faire la lèche-botte, et obtenait facilement ce qu’elle désirait.
A 14 ans, elle fessait physiquement bien plus, environ seize ans, voir plus. Sa mère tenait absolument à ce qu’elle pose pour elle, exceptionnellement, car l’envie la prenait. Un photographe inconnu par le monde, mais assez doué fera l’affaire. Des photos essentiellement avec des tenues que peu de personne ne pouvait s’offrir. Un essaie. Puis deux… Puis sa mère tomba amoureuse des photos de sa fille, et voulut l’engager. Dès qu’elle aurait un contrat avec les fringues qu’il faudrait, elle l’appellerait, comme disait sa mère. Celle-ci ne voulait pas lui faire porter n’importe quoi. Certainement pas.
La petite Princesse partageait avec sa mère de bien nombreux moment de complicité. Il s’avéra que la Miss était d’un précieux aide auprès de sa mère dans son travail. Au niveau, habillage, maquillage, et des poses à prendre. Des conseils, tout simplement. Aurore était apprécié par tous. Certainement qu’en façade. Elle pouvait facilement s’attirer la pire des jalousies.
C’était un petit rayon de soleil, qui était très souvent de bonne humeur. Une et joie et une humeur, très souvent très contagieuse. Un don inné pour rendre les choses toujours si simples : cela devait être dans le sang. Ou l’éducation.
Âgée de 16 ans : C’était une demoiselle calculatrice, et très perfectionniste. Limite manipulatrice, sans même s’en rendre compte la plupart du temps. Elle n’était pas mannequin à part entière, mais presque. Quelques unes de ses photos passèrent sur Vogue. Un très grand magazine de mode. Et pour avoir des photos d’ssus, il fallait qu’elles soient belles. Limite Féerique.
Je ne trouve pas l’utilité de vous dire qu’Aurore et Isabella étaient comme de véritables amies. Endossant parfois la carte de la mère sévère. Autant pour l’une que pour l‘autre.
 Le jour de son anniversaire de ses dix-sept ans, elle était dans le bureau de sa mère ; rangeant des photos. Elle attendait tout simplement ses parents. Ils avaient tous les trois prévus, d’aller au restaurant. Sa mère ne devait pas tarder, et son père arriverait certainement directement au restaurant en question. Aurore était comme une puce : elle bougeait, tenir en place était inconcevable, surtout ce soir là. Déjà qu’en temps normal elle était comme une pile électrique inépuisable, alors là ! C’était vraiment… Quelque chose ! Elle rangeait alors. Aurore était une perfectionniste. Tout devait être à sa place ; au mieux. Pas maniaque. Regardé sa chambre : un chaos total. Elle ne supporte pas quand par exemple, les tables ne sont pas parallèles entre elles, où aux traits du sol s’il y en a. Cela la stresse. Par contre, dans sa chambre, les images postées contre les murs étaient bien de travers. Sûrement car les murs sont blancs ? Et sans traits ? Peut-être, oui.
« Aurore …
Celle-ci, avait un sourire sur les lèvres, et se redressa et …
- Mam …
Ce n’était pas sa mère, mais son assistante secrétaire, qui paraissait assez inquiète.
« Aurore … Ton père arrive.
- Mon père ? Mais où est Isabella ?
- Je ne sais pas. Elle à 20 minutes de retard.
- Ce n’est pas dans ces habitudes.
- Je sais. Ta mère est strictement ponctuelle. Ton père paraissait inquiet, et il adit qu’il arrivait te chercher.
- Pourquoi ? Sa veut dire quoi ?
- Ne t’inquiète pas. Madame McLane doit certainement être au restaurant à vous attendre. Elle à dû téléphoner à Monsieur pour qu’il vienne te chercher.
- Tu as sûrement raison …»

Non. Elle a tord. Ta mère meurs. Elle agonise. Seule. Morte. Tu entends ?


Aurore s’assit sur une chaise, plus inquiète qu’exciter à présent. Ses doigts tambourinement sur l’accoudoir en cuir de sa chaise. Le soir de son anniversaire. Le jour de sa naissance. Sa mère ne pouvait pas mourir. Ou disparaître. Mais pourquoi donc imagine-t-elle les pires scénarios ? Non, sa mère est au restaurant et pas ailleurs. Oui au restaurant. Cette assistante avait juste imaginé … ce ton inquiet… Inquiet. Mais bon sang ! Qu’est qu’il y a ? Dis moi, je veux savoir. Papa dépêche toi.
Aurore entendit la porte de l’ascenseur s’ouvrir, elle se redressa et s’avança dans le couloir. Son père avait les yeux rouges. Il avait pleuré, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. Non. Il n’avait pas pleuré. C’était … La pollution, oui, voilà.[/i]

« Aurore … Je suis désolé…
Non arrêtes. Ne me dis pas sa non.
- Qu’ …Qu’est qui-qu’il y a ?
Les yeux de son père brillaient. Tu pleures ? Mais pourquoi ? Non c’est l’éclat des lumières dans tes yeux, voilà, oui c’est sa.
– Ta mère … Est morte.
Non, impossible. Ne dis pas de sottise. C’est pas vrai. Maman est un héros. Mon héro indestructible. C’est un ange venu du ciel, Elle n’a pas pu mourir.
- Non …, murmura-t-elle »

Son père ne répondit pas. Des larmes coulaient sur ses joues. Il l’a pris dans ses bras. Aurore ne réagit même pas. Elle avait la bouche entre ouverte, les yeux dans le vague.[/i]
Déchirement. Cœur meurtris et brisé. Sensation de vide. Non c’est impossible. Peur. Vide. Violence. Détachement corporel. Je suis en toi. Une noirceur d’âme qui va te bouffer de l’intérieur. La peur est un signe d’humanité. Le courage, l’amour. En seras-tu encore coupable, ou pas ? Un humain, petit papillon qui veut se poser sur une rose ; ces épines piquent. Atterrissage en trombe sur l’épique. Adieu. Beaucoup de ce genre d’atterrissage. Comment ? Maman ? Morte ? Non ce n’est pas vrai. Elle ne peut pas. Mais comment, alors ? Qui ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Hein ? Pourquoi ? Dis-moi … Je me sens mal. Vide.
Une perte considérable. La continuation de ses crises d’angoisse, le début de ses crises de folie, et de violence. Un deuil. Non. Elle n’est pas partie, elle est là. Mais je ne la voie pas. Accident ou meurtre ?! Une mort naturelle … Non, peu probable. Elle était jeune, et belle, sans problèmes de santé, elle qui ne fumait et ne buvait pas.
Depuis, la Miss fut plus proche de son père. Abandonnant son travail. L’entreprise de sa mère fut vendue. Et le projet de son père pris une nouvelle ampleur. La première année, de cette perte, Aurore était complètement anéantit. Puis se jura qu’elle se vengerai, car les explications de cette mort lui semblait … étranges.
Son père réussit à ouvrir son hôtel. Encore plus luxueux. C’était plus de l’hôtel, mais un centre de remise en forme à croire !
Et puis … Maintenant… C’est à nous d’écrire la suite …


  • Style Vestimentaire :
Hey .... Pourquoi tu me regardes ? Arrêtes … Tu vas m’abîmer *o* Je suis si belle … La demoiselle atteint les un mètres soixante-dix, et sa, sans talons attention ! Une silhouette gracieuse et svelte. Ses longs cheveux blonds encadrent son visage de la même façon qu’un rideau … Ses yeux, de pur joyaux, brille souvent de malice, ou alors de lueurs des plus menaçante. Son allure de princesse, avec un visage aux traits fins et délicats, lui assure une certaine prestance. Sensuelle de nature, chacun de ses gestes sont comme une caresse. Sa peau … Est aussi douce et pâle qu’une plume blanche. La couleur de ses yeux brille comme les reflets du diamant, si vaste et si sombre comme les ténèbres, si brumeux que le brouillard … Si agité que les mouvements de la mer. Un regard magnifique, un regard que pouvoir s’y perdre est un réel plaisir. Un réel contraste avec sa peau si pâle. Son air si fragile, une poupée de porcelaine entre vos mains, surtout ne pas la bousculer, vous pourrez la briser. Autant que son air, son cœur et fragile. Son visage, semble tout droit sortir d’un tableau de la renaissance tant elle semble paisible et angélique. Son front, est un peu plus grand que la moyenne, mais caché par une frange, qui lui donne un certain air d’ado perdue. Ses cheveux, son court, et bruns, souples et fins. Ses yeux, sont de couleurs grise, avec de longs cils, épais, qui et vous regarde toujours profondément, comme si elle cherchait à savoir qui vous êtes, ce qui peut, quand elle le veut évidemment, paraître pesant. Sa bouche, est de couleur rose pâle, et très fines, mais glamours. Son nez est petit, pointu et mignon. Son cou, est de taille moyenne, eh non, elle ne peut pas jouer les femmes girafes. Elle a de magnifiques mains de pianistes, qui lui sont souvent bien utiles. Elle a deux fines oreilles, la droite, percée par trois fois, et la gauche par deux, des petits diamants blancs. Sa poitrine est gracieuse, appréciable. Pas trop petite, ni trop grosse, parfaite pour son allure. Ses fesses sont rebondis XD Qui invite toute éventuelle tapette Une parfaite allure de Princesse ou alors d’une dépravée, car des envies provocatrices la prennent. Ses jolies mains, aux ongles longs, sont la plupart du temps vernis. Fessant toujours un petit cri quand elle se casse un ongle, ne supportant pas du tout sa. Dotée d’une beauté innocente des plus déstabilisante, La Nature n’a pas résigné sur les moyens. Aux premiers abords la demoiselle, parait comme une petite gamine, sainte ni touche, la pureté, et naïveté même. Rien qu’en regardant son visage. Son style vestimentaire peut être des plus classe, passant parfois à une tenue branchée, au top de la mode, ou alors, sexy, …

  • Autres : Est Bisexuelle, prends des médicaments pour que ces crises de violences soient inexistantes.

  • Avis sur le meurtre ? Complètement outrée, que l’on puisse vouloir salir la réputation de cet hôtel d’une quelconque manière. Elle trouve cet acte, complètement … Horrible.
Créatrice : Jenn
Distribution : Sous demande.

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Mais pas par mail, je ne les relève pas (" )